Moi perso, je préfère savoir. J'arrive à supporter les images mentales.
Je sais que d'autres préfèrent ne pas savoir, se bander les yeux.
Même certains refusent de croire aux réseaux pédophiles en ne pouvant pas imaginer que des gens de pouvoirs puissent faire cela et préfèrent se dire que ce sont juste quelques malades qui agissent ainsi et qu'on met en prison tels Fourniret, Dutroux, Lelandais sans voir derrière que ces hommes fournissaient les gamines à des réseaux qui les commandaient pour des soirées et ensuite les fournisseurs reprenaient la marchandise et la faisait disparaître afin que les clients ne puissent pas être exposés.
Il faut abolir le trafic d'enfants ! | Idriss Aberkane avec Karl Zero
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Fondateur du forum, j'ai cru être gnostique dans le passé, mais je n'était qu'un imitatus. J'ai peut-être compris la gnose de travers, je n'ai pas su méditer et je n'ai pas su étudier mes ego comme il fallait et j'ai commis d'autres erreurs dont je ne suis pas conscient. Il m'avait été même donné une épouse-prêtresse mais j'ai échoué sur le chemin sur le premier et le second facteur. Aujourd'hui, je suis un infra-sexuel mais malheureusement, je ne me repens pas !
Je ne suis plus digne de côtoyer les gnostiques bien ancrés sur leurs deux jambes, qui suivent les justes préceptes et se tiennent droit sur le chemin. Certains ont ont su comprendre l'enseignement et ont remarquablement progressé sur le chemin, disent marcher dans les pas de leur Intime. Et bien qu'ils soient venus à la gnose après moi, ils ont voulu me proposer leur aide pour me relever mais je l'ai refusée. Je constate mon échec et j'attends la mort avec impatience en m'isolant, espérant pouvoir revenir dans une vie prochaine avec de meilleurs atouts si cela m'est permis. Mais que cela ne vous empêche pas de venir vous frotter à eux. Je ne suis plus présent sur le forum pour échanger. Je n'alimente que les sujets qui m'intéressent et ne souhaite pas débattre avec vous.
Effrayant,
Y inscrire les internats privés des garçons, j'ose espérer que cela n'existe plus ! Se dissolvent à jamais, ne soit plus un fait divers banalisé, ou l'on y croit qu'à moitié !
Ces lieux où sous le seing de la charité, était accueilli les plus démunis, dont j'ai pu constaté un soir caché sous le lit, son ignoble hypocrisie !
Nous étions séparés, d'un côté l'école des filles et de l'autre côté l'école des garçons, étant résignée à cet internat, forcé par la confiance du bienfait de l'internat exprimé par ma Mère.
J'ai rapidement compris que j'avais interet a me tenir à carreau dans ce lieu, si je ne voulais pas sombrer dans la flagellation des goelieres et les mouchardages...
J'avais le petit frère d'une camarade lors des récrés, qui me tenait compagnie derrière le grillage qui nous séparait, il m'informait des échappés qu'il faisait lorsque les pères dormaient, avec une cuillère et les mains nous avons réussi à creuser un trou, au bout de quelques jours le trou était assez large pour que je puisse la nuit les retrouver, qu on puisse penser a autre chose que le joug et le fouet de la sévérité des lieux,.
Un soir caché sous les lits, jouant à la belote, la lumière s'allume dans le dortoir des pères, vite vite, chacun est retourné dans son lit, je retiens ma respiration, je sens les pas s'approchaient, j'ouvre à peine les yeux, les chaussons de style écossais me font presque face! Il vient vers moi, c'ést foutu, les pas s'arrêtent, je vois un bout de couverture, je ne bouge pas..j'entends des gémissements, des pleurs étouffés, je glisse vers l'arrière, je soulève légèrement la tête entre 2 lits, le père Bertrand couché dans le lit de ce petit garçon !
Je glisse encore et encore vers l'arrière, je sens un bout de mur, je me glisse le long, et retrouve toute l'agilité d'un retour au dortoir des filles !
J'apprends bien plus tard, son surnom, Père la trique cochonne !
Connu par les grands de ce lieu qui immunisés de leurs Adolescences et du paiement bourgeois de leurs parents, en riaient comme si cela était juste, normal !
Je ne suis plus jamais retourné dans le dortoir des garçons, je n'ai plus eu ce goût léger d'y aller !
J'ai longtemps été mal en moi de ce spectacle que je ne comprenais pas. Il a fallu la révélation recurrente par des affaires de cette sorte de l'église, pour me rappeler de ce spectacle !
Je prie pour qu'aucun enfant ne soit plus jamais spectateur et encore moins proie d'une telle abomination !
Pendant que des très jeunes garçons avaient droit à ces horreurs, dans les dortoirs des filles étaient dispensés toute l'horreur du péché de chair !
