Pour la transformation des impressions et la machine humaine, je n'ai malheureusement pas les livres qui en parle en mémoire, ce doit être dans un chapitre de la psychologie révolutionnaire et la grande rébellion probablement.
Malgré tout il en parle dans certaines conférences telle que celle-ci :
https://www.gnose-de-samael-aun-weor.fr ... cience.php
Cette conférence aborde la chose de manière didactique.
Les conférences sont très bien à étudier pour aborder certaines thématiques. C'est très direct.
http://www.gnosis-samaelaunweor.org/fr/ ... -evangile/
Concernant les allusions de Samael Aun Weor à son père biologique, il en parle dans les premières pages des Trois Montagnes, et dans certaines conférences. C'est tout ce que j'ai en mémoire.
Il explique que son père biologique fut dans une vie antérieure un de ses adversaire. Et cet individu décida de se réincarner en son père biologique pour se venger de lui.
Néanmoins dans les Trois Montagnes, on ne distingue aucune animosité vis à vis de son Père.
Il honore ses parents tel que le Christianisme l'Enseigne.
Les premiers chapitres des Trois Montagnes sont intéressants, je te conseil de les étudier.
https://www.gnose-de-samael-aun-weor.fr ... tagnes.pdf
Extrait d'une conférence où il parle de son père :
"Il faut nous convertir en créatures différentes, en créatures heureuses, en êtres joyeux car nous avons droit à la Félicité. Mais si nous ne nous y efforçons pas, comment allons-nous changer ? De quelle manière ? Voilà ce qui est grave.
Le plus important est de NE PAS NOUS IDENTIFIER avec les circonstances de l'existence. La vie est comme un film et, en fait, c'est un film qui a un début et une fin. Différentes scènes passent sur l'écran du Mental et notre erreur la plus grave consiste à nous identifier avec ces scènes. Pourquoi ? Parce qu'elles passent ; simplement parce qu'elles passent. Ce sont les scènes d'un grand film et, à la fin, elles passent...
Heureusement, sur le chemin de ma vie, j'ai toujours eu ceci comme devise : « NE PAS S'IDENTIFIER AVEC LES DIFFÉRENTES CIRCONSTANCES DE LA VIE ».
Il me vient en mémoire, disons, des situations de mon enfance. Étant donné que mes parents terrestres avaient divorcé, il nous incombait, à nous, les enfants d'une grande famille, de souffrir.
Nous étions restés avec le « chef » de famille et celui-ci nous interdisait alors d'aller rendre visite à « la chef », c'est-à-dire à notre mère terrestre ; cependant, nous n'étions pas ingrats au point d'oublier « la chef ».
Je m'échappais toujours de la maison avec un de mes jeunes frères qui me suivait ; nous allions lui rendre visite, puis nous retournions à la maison où était le « chef ». Mais, mon petit frère souffrait beaucoup car, au retour, il se fatiguait car il était très petit et je devais alors le prendre sur mes épaules (tant il était petit). Il pleurait à chaudes larmes et disait :
- Maintenant, de retour à la maison, le « chef » va nous donner des coups de fouet et de bâton. Je répondais en disant :
- Petit, pourquoi pleures-tu ? TOUT PASSE, rappelle-toi que tout passe...
Quand nous arrivions à la maison, le « chef » nous attendait, certes, rempli d'une grande colère et il nous donnait des coups de fouet. Plus tard, bien sûr, nous nous enfermions dans notre chambre pour dormir, mais là, au moment de nous coucher, je disais à mon petit frère :
- Tu te rends compte ? C'est déjà passé. Es-tu convaincu que tout passe ? C'est déjà passé ; tout passe... Un jour parmi tant d'autres, notre « chef » arriva à entendre que je disais à mon frère : « Tout passe, c'est déjà passé ». Et, évidemment, notre « chef » qui était assez coléreux, empoigna de nouveau le terrible fouet qu'il avait et il pénétra dans notre chambre en disant :
- Alors, comme ça, tout passe, espèces de mal élevés ! Puis, il nous donna une autre correction plus terrible encore, après quoi il se retira (ayant l'air très soulagé de nous avoir fouettés). Dès qu'il fut sorti, je dis un peu plus doucement à mon frère :
- Tu vois ? Ça aussi, c'est déjà passé...
C'est-à-dire que je ne m'identifiais jamais avec ces scènes ; et je pris comme devise, dans la vie, de ne jamais m'identifier avec les circonstances, avec les évènements, avec les situations, car je sais que ces scènes ne font que passer.
On se préoccupe tellement pour un énorme problème qu'on ne peut pas résoudre et plus tard, voilà qu'il passe et qu'arrive une autre situation complètement différente. Alors, pourquoi s'est-on préoccupé si ça devait passer ? Pour quelles raisons s'est-on préoccupé ?
Quand on s'identifie aux différents évènements de la vie, on commet beaucoup d'erreurs. Si on s'identifie au verre de liqueur que nous offre un groupe d'amis « poivrots », alors on s'enivre. Si on s'identifie à une personne du sexe opposé, à un moment donné, on se retrouve en train de forniquer. Si on s'identifie à un offenseur qui nous blesse avec ses paroles, on se retrouve aussi à insulter.
Vous paraît-il raisonnable que nous, qui sommes de bonnes personnes, apparemment sérieuses, nous nous retrouvions en train d'insulter ? Croyez-vous que ce soit correct ? Si on s'identifie à une scène de sentimentalisme pleurnichard, par exemple, où tout le monde est en train de pleurer amèrement, on se retrouve aussi avec une bonne provision de larmes. Croyez-vous qu'il soit correct que d'autres nous entraînent à pleurer de la sorte, parce qu'ils en ont envie ?
Ce que je vous dis est indispensable si vous voulez vraiment vous auto-découvrir. C'est indispensable parce que si on s'identifie totalement à une scène, cela signifie qu'ON S'EST OUBLIÉ SOI-MÊME ; on a oublié le travail qu'on est en train de faire ; on est alors en train de perdre totalement son temps.
Les gens s'oublient complètement eux-mêmes ; ils oublient leur propre Être Intérieur Profond parce qu'ils s'identifient avec les circonstances.
Normalement, les gens sont endormis car ils s'identifient aux circonstances qui les entourent et chacun a sa CHANSONNETTE PSYCHOLOGIQUE, comme je l'ai dit dans mon livre « La Psychologie Révolutionnaire ».
À peine rencontrons-nous quelqu'un, qu'il nous dit aussitôt : « Dans ma vie, j'ai dû faire ceci et cela. On m'a volé ; j'étais riche, j'avais de l'argent, mais on m'a trompé. Untel est le voyou qui m'a trompé » ; et voilà sa Chanson Psychologique.
Dix ans plus tard, nous rencontrons la même personne et elle recommence à nous raconter la même « chanson ». Vingt ans plus tard, nous rencontrons encore cette personne qui nous raconte à nouveau la même Chanson Psychologique. C'est sa Chanson Psychologique. Elle est restée identifiée à cet évènement pour le reste de sa vie."