La Grande Arnaque du réchauffement climatique

Répondre
Hors ligne Germinal
#1
Messages : 210
Enregistré le : 29 mai 2011

La Grande Arnaque du réchauffement climatique

Message le

Film choc.

http://www.youtube.com/watch?v=jvaZz-1JsMI

P.S: je mets le lien You Tube car dans mes derniers messages, on dirait que les vidéos que je mets ne s'affichent pas. Si quelqu'un veut bien me dire si elle voit les vidéos apparaître dans ce sujet: https://www.gnose-de-samael-aun-weor.fr/ ... =94&t=2901 &
Hors ligne Germinal
#2
Messages : 210
Enregistré le : 29 mai 2011

Message le

Les articles suivants proviennent tous d'ici: http://zone-7.net/v3/rechauffement-du-systeme-solaire
J'ai quand même mis le lien de chaque article individuellement.
A savoir que c'est loin d'être le seul espace qui dénonce cet arnaque du "réchauffement climatique" dû à l'homme. Poussez vos recherches pour plus d'infos!
Voir le film plus haut est déjà la première chose à faire. Dommage de constater que ce post n'a eu que 5 vues.





source: http://zone-7.net/v3/rechauffement-du-s ... me-solaire RÉCHAUFFEMENT DE LA PLANÈTE OU… DU SYSTÈME SOLAIRE?


Pour la première fois révélé par Richard C. Hoagland en 2004, la notion d’un réchauffement du système solaire dans sa totalité, plutôt qu’uniquement à l’échelle terrestre, demeure un sujet à toutes fins utiles inexistant auprès de la communauté scientifique actuelle et est tout simplement inconnu de la population en générale. Dans un article intitulé « Interplanetary « Day after tomorrow »? », Hoagland explore, avec tout le sérieux, la rigueur scientifique et l’ouverture d’esprit qui le caractérisent (du moins le caractérisaient), la réelle possibilité d’un changement climatique à l’échelle du système solaire. À l’aide de données officielles de la NASA ainsi que de nombreuses parutions dans les journaux scientifiques, il a recueilli une panoplie de données techniques, rendues publiques au compte-gouttes et de façon isolée, pour en faire un portrait général et compréhensible indiquant clairement que le « réchauffement de la planète » est, en fait, indéniablement un « réchauffement du système solaire ».
Je ne ferai ici qu’un bref tour d’horizon de ces changements afin de donner au lecteur un aperçu de l’ampleur du phénomène ainsi qu’un point de vue différent de celui que la propagande officielle véhicule à tous vents, « que ce sont nos utilisations excessives de carburants fossiles et nos déforestations » qui sont les causes principales des changements climatiques que nous expérimentons depuis quelques décennies. À noter que je n’insinue pas que nous n’y contribuons pas par nos pratiques non environnementales mais, seulement,qu’avec ou sans nous, ces changements se produiraient tout de même. On assiste, en quelque sorte, à un changement de saison au niveau du système solaire, à un cycle d’ordre cosmique que nous ne comprenons pas tout à fait encore.
Voici, en résumé, quelques-unes des données scientifiques existantes :
Le Soleil démontre plus d’activité depuis 1940, en termes d’éruption solaires (nombre et force), que dans les 1 150 dernières années… combinées!


Vénus présente des changements atmosphériques substantiels et une augmentation de sa luminosité aurorale de 2500%, et ce, depuis les 30 dernières années seulement.
En ce qui concerne la Terre, est-ce réellement nécessaire de décrire tous les changements géophysiques si évidents?
Mars subit un « réchauffement planétaire » semblable au nôtre : disparition des calottes polaires de glace et augmentation significative des tempêtes en nombre et en ampleur.
Jupiter montre une augmentation de 200% de la luminosité de ses nuages de plasma avoisinants (ce qui est sans aucun doute le résultat de forts changement intérieurs).
Saturne voit son « jet stream » équatorial largement décroître depuis environ 20 ans. Ce phénomène est accompagné d’une surcharge d’émission de rayons X depuis son équateur (jusqu’à 1000% en ce qui concerne le brillant nuage qui entoure la planète) ainsi que la disparition des rayons transversaux de son anneau.


Sur Uranus, apparition de grands changements au niveau de sa luminosité, liés à l’émergence de nuages remarquablement lumineux « de la grosseur d’un continent terrestre », et arrivée nouvelle d’énormes tempêtes. Encore une fois, tout ceci dans les 20 dernières années.
Sur Neptune, en juin 1994, la grande tache sombre de l’hémisphère sud (comparable à la grande tache rouge de Jupiter) est mystérieusement disparue. En 1995, elle est réapparue, mais dans l’hémisphère nord! De plus, sa luminosité globale s’est accrue de 40%.


Pluton (rejetée planète!) a subi un accroissement de sa pression atmosphérique de 300%, de 1989 à 2002, malgré le fait qu’elle s’éloigne actuellement du soleil.
Bien entendu, ceci n’est qu’un bref aperçu de ce qui se trame réellement, et dans la totalité de notre système solaire présentement. Je conseille fortement la lecture de l’article (en anglais) cité au bas de la page.
Serait-ce donc une propagande voulue que de ne parler que des combustibles fossiles comme source du réchauffement climatique? N’y a-t-il réellement personne d’autre qui aurait mis toutes ces données dans un contexte plus grand? Quelqu’un saurait-il quelque chose que nous ne savons pas?
Peut-être approchons-nous du la fin et/ou commencement d’un cycle cosmique?
Matière à réflexion !


source:http://zone-7.net/v3/rechauffement-du-s ... du-sciecle

Le réchauffement du climat serait le symptôme d’une catastrophe à venir
Par Hubert Moisan

Alors que le débat sur le réchauffement climatique fait plus que jamais les manchettes depuis le dépôt du rapport de Nicholas Stern, ex-économiste en chef de la Banque mondiale, lequel fait état du coût possible de cette crise autour de 7 000 milliards de dollars, un écrivain québécois autodidacte, Pierre de Châtillon affirme, dans un livre qui vient de paraître, que le réchauffement du climat est un mythe. Depuis la sortie du rapport Stern, qui compte tout près de 700 pages, tous les journaux de la planète en ont fait leurs manchettes et relancé la nécessité de la mise en application du protocole de Kyoto. Rappelons que le gouvernement américain n’a toujours pas endossé ce dernier et que le gouvernement Harper se fait tirer l’oreille. Selon de Châtillon, des bouleversements climatiques semblables à ceux qu’on observe aujourd’hui sont survenus à des périodes de l’histoire et ont provoqué la disparition de civilisations très avancées. L’auteur avance qu’il y a plus de 10 000 ans, des civilisations dont on a retrouvé les vestiges dans les océans sont disparues lors de catastrophes climatiques qui ont été répertoriées aussi bien par Platon qu’inscrites dans les annales chinoises. Selon lui, ces bouleversements climatiques réapparaissent dans l’histoire humaine avec la régularité d’une horloge et les constructions pyramidales qu’on retrouve en Égypte en Amérique du Sud et en Europe étaient des abris où comptaient s’abriter ceux qui savaient, la forme pyramidale étant la seule à être en mesure de résister aux inondations, aux vents violents ou au feu des volcans.
ÉTUDE SECRÈTE
Selon de Châtillon, les gaz à effet de serre ne peuvent expliquer le réchauffement climatique et cette théorie semble donner raison au président américain, qui a déclaré n’être pas convaincu de la relation entre réchauffement climatique et gaz à effet de serre. L’auteur va plus loin: selon lui, la planète, loin de se réchauffer, est en refroidissement! Il mentionne que la Maison Blanche a confié au Pentagone le soin de réaliser une étude gardée secrète mais dont les résultats font état de conséquences géo-climatiques apocalyptiques pour… 2007. L’auteur ajoute que beaucoup de scientifiques sont incapables d’établir un lien de cause à effet entre le réchauffement climatique et les gaz à effet de serre et qu’ils ne comprennent tout simplement pas comment cette relation a pu être établie. Une chose est sûre: pas une semaine ne passe sans qu’on fasse état, quelque part sur la planète, de phénomènes extrêmes tels que sécheresses, incendies de forêts, tempêtes, ouragans, inondations et glissements de terrain. Sans parler de la fonte accélérée des glaciers et de la montée du niveau des mers. Pour Pierre de Châtillon, ces phénomènes sont trop rapides et généralisés pour n’être dûs qu’à l’effet de serre. L’auteur précise qu’à certains endroits, les hivers sont plus longs et plus rigoureux: on a vu tomber de la neige dans le désert d’Arabie et au Mexique. Bref, selon lui, on ne peut parler de «réchauffement» mais bien de «bouleversement climatique».
LE TROU D’OZONE
La crise du climat a commencé avec le gigantesque trou constaté il y a une vingtaine d’années dans la couche d’ozone, réputée protéger la planète contre le rayonnement solaire. Les fluorocarbones (CFC) utilisés dans les réfrigérateurs, les systèmes de climatisation et les contenants sous pressions furent désignés comme responsables de la déperdition de ce bouclier filtrant les rayonnements cosmiques. Puis on a accusé les Brésiliens qui coupent la forêt amazonienne, les courants El Niño et El Niña. En-suite, ce fut au tour des millions de véhicules automobiles et leurs émanations de CO2, dans l’atmosphère. Malgré toutes les mesures prises, les changements climatiques se sont accélérés puis on a accusé les industries. Or, dit de Châtillon, si on fait abstraction des trois quarts de la planète qui sont recouverts par les océans, 3% par les calottes polaires, les marais, lacs, déserts et montagnes, il ne reste que 1,8% de la planète qui est peuplé d’êtres humains. Selon le National Geographic, la totalité des espaces peuplés et industriels de la Terre pourraient tenir dans un territoire grand comme l’Espagne. De Châtillon parle d’hystérie collective, d’autant plus que nombre de climatologistes ne croient pas au réchauffement climatique dû à l’accumulation des gaz à effet de serre. L’auteur croit qu’il est erroné ou au mieux signe de grande vanité de croire que l’activité humaine pourrait être la cause d’un réchauffement climatique global. Il avance qu’il suffirait d’une seule éruption volcanique comme il y en a déjà eu par le passé pour que la pollution engendrée dans l’atmosphère soit supérieure à toute celle causée par l’activité humaine.
LE MYTHE DU CO2
De Châtillon cite les travaux du professeur Robert Pease, professeur de physique et de climatologie, selon qui la couche d’ozone se répare d’elle-même, alors que les molécules d’ozone dans l’atmosphère sont constamment reconstituées lorsque l’énergie de la lumière ultra-violette brise les liens des molécules d’oxygène. Selon les calculs du Pr Rowland, il y aurait une molécule de CFC pour 136 000 000 de molécules d’oxygène dans la couche d’ozone, à une hauteur de 25km d’altitude. Selon ce dernier, la théorie de la déplétion de l’ozone est inexistante, car elle est basée sur la supposition que les molécules de CFC grimperaient dans l’atmosphère sans difficulté… alors qu’elles sont plus lourdes que l’air. Quant au CO2, ce gaz ne représente que 0,035% de l’atmosphère et même si ce taux doublait, tout ce qui vit sur Terre pourrait s’en accommoder. Selon les scientifiques, plus de 99,9% du CO2 se trouve au niveau du sol ou en dessous et 71% de ce gaz est dissous dans l’eau de mer. Or, puisque le CO2 est un gaz plus lourd que l’air et qu’il se dissout dans l’eau de mer, il est donc impossible qu’il s’accumule dans les hautes couches de l’atmosphère et occasionne un quelconque effet de serre. Dès que le CO2 se manifeste dans l’atmosphère, il est aussitôt capté par les eaux de pluie et raméné au sol. De plus, l’augmentation de CO2 dans l’atmosphère devrait produire logiquement une explosion de la végétation, puisque ce gaz est utilisé par les plantes dans leur métabolisme, et on sait bien qu’il n’en est rien. Par ailleurs, l’atmosphère de la planète Vénus est entièrement composée de CO2 produit par l’activité volcanique. Mars possède des calottes polaires qui sont composées de CO2 solide (glace sèche). Or, dit l’auteur, si le CO2 était la cause d’un hypothétique réchauffement climatique, Mars serait beaucoup plus chaude qu’elle ne l’est actuellement. Selon lui, la Terre se réchauffe en fait depuis le début du siècle dernier, à un moment où la pollution automobile et industrielle était quasi inexistante. Bref, même si la simultanéité du bouleversement climatique et du CO2 connaissent un cycle similaire, rien ne permet de croire que l’un est la cause de l’autre. Alors quoi? Si les bouleversements climatiques ne sont imputables ni à une augmentation des gaz à effet de serre, ni à une déperdition de la couche d’ozone, ni aux courants El Niño et El Niña ni même aux gaz intestinaux des vaches, quelle en est la cause?
TORNADES ET VOLCANS
Pierre de Châtillon explique que les bouleversements climatiques vont de pair avec certains phénomènes, mais n’en sont pas la cause. L’auteur admet l’augmentation du nombre des tornades et l’explique par une montée des températures, lesquelles auraient débuté en 1860 (voir graphique). Comme il est possible de le constater, dit-il, déjà en 1920, la courbe de croissance est visible et l’augmentation de la température est de 1 degré sur 90 ans, en accélération depuis 1990 jusqu »à aujourd’hui. Ainsi est-on pissé d’une moyenne annuelle de 150 tornades depuis 1920 pour atteindre 600 en 1955 et plus de 1200 en 1990.
Quant au niveau de la mer, selon Pierre de Châtillon, il est en augmentation depuis le début du siècle, tout en notant que l’escalade s’est accélérée depuis 1980. L’activité volcanique elle, est passée de 1500 journées d’activité en moyenne en 1940 au double en 1990, puis encore au double entre 1990 et 2004. Les tremblements de terre (voir graphique) de magnitude 2,5 et plus sont passés d’une moyenne de 500 par année de 1920 à 5000 par année en 1973 puis à 25 000 en 2004. Selon de Châtillon, le réchauffement climatique ne serait pour rien dans cette augmentation. Selon l’auteur, qui cite Schumann, la Terre se conduit comme un énorme condensateur électrique. La cavité entre la surface de la Terre et l’ionosphère agit comme un condensateur dans un circuit électrique en oscillant. Or, cette oscillation, qui se situait à 7,8 sur une échelle de 13 il y a dix ans, se situe aujourd’hui à 12. Bref, cette résonnance est en relation inverse directe de la puissance du champ magnétique de la Terre. Selon l’auteur, dans les temps anciens, cette situation a toujours précédé une modification importante du champ magnétique terrestre. Et si la Terre participe à cette résonnance, elle n’est pour rien dans sa création. Selon de Châtillon, l’énergie nécessaire à ces vagues provient de la haute troposphère. Bref, les sources des bouleversements climatiques actuels seraient extérieurs à la planète!
LA DANSE DU SOLEIL
L’auteur démontre un accroissement de l’activité solaire. Voir à ce sujet le graphique du spectre de l’irradiation solaire de 1600 à 2000. En décembre 2001, la NASA a publié des photos de la planète Mars indiquant une fonte majeure de ses calottes polaires, tout comme sur la Terre. Un astronome russe, Pasichnyk, a rapporté qu’il semblait se développer sur Mercure des calottes polaires, ce qui est considéré comme impossible, vu sa faible distance du soleil. Sur Vénus, des observateurs ont observé en 1999 une luminosité verte typique d’une atmosphère composée d’oxygène, ce qui a causé une grande surprise. On a observé dans l’atmosphère de Mars la formation de nuages et le champ magnétique de Jupiter a doublé d’intensité depuis 1992. En 1997, on a observé la formation d’un gigantesque tube de plasma entre Jupiter et Io, une de ses lunes. L’énergie colossale nécessaire à ce phénomène est de l’ordre de plusieurs millions d’ampères. On a observé depuis quelques temps des aurores brillantes à la surface de l’atmosphère de Saturne, ce qui indique une augmentation de sa charge électrique. Même chose pour Uranus, soumise à de fortes luminosités et des aurores boréales. Bref, les scientifiques, tout en écoutant les propos alarmistes des environnementalistes, se grattent la tête en essayant de comprendre la relation entre tous ces événements. Selon-Pierre de Châtillon, ce qui se passe est bien plus qu’un simple réchauffement climatique: il s’agit d’une véritable tempête d’ordre cosmique, à l’échelle de l’univers et nous serions. sur le point de devoir y faire face, tout comme d’autres civilisations les ont subies il y a des milliers d’années, et qui ont disparu de la surface de Terre…

source: http://zone-7.net/v3/rechauffement-du-s ... ementaires

QUELQUES INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES
Voici deux extraits d’un article d’Hubert Moisan, tirés du Journal Vert, qui apportent quelques données complémentaires sur ce sujet controversé.

LE CO2 EFFET OU CAUSE DU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE?
Dans une récente émission de la BBC, des savants ont constaté le réchauffement du climat de la planète, tout en démentant le mythe de la responsabilité de l’homme à propos de ce phénomène. Selon ces scientifiques, qui ont expliqué que malgré les pressions qu’ils subissent, ils continueront à affirmer que la production du CO2 serait l’effet et non pas la cause du réchauffement climatique. En fait, la hausse des températures, disent-ils, précèdent de plus de 800 ans la hausse de CO2 et est, de ce fait, une conséquence de la hausse de température. Bref, selon de plus en plus de scientifiques, la cause du réchauffement du climat de la Terre est complexe, et semble résulter d’une cascade d’événements qui se passent sur notre soleil ! L’apparition depuis quelques années de nombreuses taches solaires coïnciderait avec l’accroissement de la température sur la Terre, ces taches allant de pair avec une croissance de l’activité magnétique du Soleil. La Terre recevant moins de rayonnement magnétique, produirait moins de nuages, et recevrait en conséquence davantage de lumière solaire, ce qui causerait le réchauffement de son climat. Selon le chef du Laboratoire d’Études spatiales de l’Observatoire de Poulkovo et membre de l’Académie des Sciences russes, Khabiboullo Abdoussamatov, le Soleil serait responsable du réchauffement climatique global de la Terre plutôt que le gaz carbonique (CO2).Abdoussamatov précise que des carottes de glace, prélevées dans des puits creusés à plus de trois kilomètres de profondeur dans l’Antarctique et au Groënland, ont révélé des variations considérables de teneur en gaz carbonique dans l’atmosphère au fil des siècles et que des périodes de réchauffement climatique ont eu lieu bien avant l’ère industrielle. Le savant précise que même une accumulation considérable de gaz carbonique dans l’atmosphère ne conduit pas à une augmentation de la température de la Terre et que l’augmentation de la concentration de gaz carbonique observée de nos jours dans l’atmosphère terrestre serait la conséquence de l’élévation de la température des eaux terrestres, laquelle serait due à l’intensité du rayonnement solaire. Par conséquent, précise le chercheur, «on a pris la conséquence pour la cause». Selon lui, la théorie de l’effet de serre ne tient pas compte de la transmission efficace de la chaleur à travers les couches supérieures de l’atmosphère: «Des volumes de gaz carbonique réchauffé, qui deviennent légers à la suite de leur expansion, s’élèvent vers les couches supérieures de l’atmosphère et restituent la chaleur absorbée» dit le savant, qui ajoute que «Les hommes ne sont pas en mesure d’influer d’une manière tant soit peu substantielle sur le réchauffement climatique global, et un refroidissement profond de la Terre suivra inévitablement son réchauffement», précise le chercheur, qui prévoit que ce refroidissement surviendra probable-ment vers 2055-2060.[Note de Zone-7 : Ceci reste à voir, certaines sources semble indiquer 2010 à 2015 comme étant plus réaliste]
[...]
LES VRAIES CAUSES DU RÉCHAUFFEMENT?
L’état du climat depuis une décennie est comme un autobus sans conducteur qui serait lancé à toute allure et il serait vain de croire qu’il s’arrêtera de lui-même sur l’accotement, selon Pierre de Châtillon, auteur du controversé livre Bouleversement climatiques, leurs cycles révélés, de l’Atlantide à aujourd’hui (éd. Nenki). En fait, dit-il, les phénomènes géoclimatiques qui nous frappent depuis quelques années sont en accélération et rien ne laisse croire que cela changera, du moins à court terme. D’aussi loin qu’il est possible de remonter dans le temps, des perturbations climatiques importantes et soudaines ont parsemé l’histoire de notre planète, modifiant le fragile équilibre des écosystèmes et bousculé l’habitat des êtres humains. Dans le livre de bord relatant les particularités du climat au cours du dernier millénaire, 250 années y ont été répertoriées pour des froids violents, des gelées excessives, des étés caniculaires, sécheresses, avec à la clé des famines et des épidémies s’étendant parfois sur plusieurs décennies. Aussi loin qu’il est possible de remonter dans l’histoire du climat, on peut ainsi retrouver certaines variations climatiques, légères ou dramatiques et chacune d’elles a donné lieu à des bouleversements de milieux écologiques et modifié la vie de leurs habitants. Et tout au cours de ces pérégrinations, il y avait moins d’humains qu’aujourd’hui sur la planète, pas de pétrole, pas d’automobiles, pas d’usines ni de pollution atmosphérique. De toute évidence, les activités de l’homme n’étaient pour rien dans ces variations du climat.
Au cours du dernier quart de siècle, tornades, tremblements de terre, ouragans, orages, volcans, sécheresse, chutes de grêle, inondations ont été les principaux indicateurs géoclimatiques de la planète. Si ces derniers ont tous été relativement stables jusqu’à l’orée du siècle précédent, ils ont atteint un sommet au tournant des années quatre-vingt, où leur activité s’est décuplée, ce qui a soulevé l’intérêt du public pour une «instabilité géoclimatique caractérisée». Des mots et des concepts nouveaux tels que couche d’ozone, réchauffement climatique, écologie, environnement, smog, et El Nino, qui nous étaient tout à fait inconnus il y a à peine un quart de siècle, se retrouvent à la une des journaux. Depuis 2000, les excès climatiques ont atteint des sommets avec des températures jamais vues depuis qu’on effectue le décompte du climat.
BRIS DE LA CHAÎNE
La biodiversité est un entrelacs de relations prédateurs/facilitateurs, qui n’est que le cycle de la chaîne alimentaire dont dépendent les êtres humains. Incontestablement influencée par les bouleversements du climat qui se multiplient, l’instabilité du climat risque de fragiliser cette biodiversité, en transformant et en affaiblissant notre écosystème. Tout comme un être vivant, notre communauté biologique possède une certaine tolérance face aux agressions subies par l’environnement. La perte d’une source d’alimentation n’entraîne que des effets relatifs, puisque que l’adaptation est possible et qu’éventuellement, le système reprendra son équilibre. Mais lorsque les agressions se multiplient, il n’est plus possible à ce fragile édifice de se rétablir. Affaibli, il risque de s’effondrer, ce qui causera la disparition de milliers d’espèces tout en affectant la stabilité de la chaîne alimentaire, et cela prendra des centaines voire des milliers d’années avant que ce système puisse se rétablir.
Depuis le dernier quart de siècle, des sécheresses répétitives ont frappé de grandes régions du monde, provoquant l’afflux de réfugiés climatiques et causant des faillites de petits producteurs agricoles, incapables de survivre. En Afrique, en Inde, dans l’Ouest américain et canadien, des régions autrefois qualifiées de réserves mondiales n’arrivent plus à s’auto-suffire. Les mers se vident : corail, phytoplancton, thon, morue, baleines et crustacés sont affectés et l’industrie mondiale de la pêche est en dépression depuis plus de vingt ans. Des poches de coraux autrefois luxuriants sont devenus de véritables déserts marins n’offrant plus l’ossature nécessaire à des formes de vie dont l’homme se nourrit. Par ailleurs, les éruptions volcaniques sont passées de 2 000 journées d’émissions annuelles en 1950 à 5 000 en 1980 et à plus de 10 000 en 2005. Or ces bouleversements n’apparaissent pas que sur la Terre. Le soleil, la Lune, Mercure, Vénus, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton ont également vu des modifications importantes de leur atmosphère au cours du dernier quart de siècle. Les perturbations qui affectent le soleil depuis 25 ans devraient être au centre de nos préoccupations. L’activité anormale de notre étoile apporte un nouvel éclairage sur les changements environnementaux. Même s’il nous semble immuable et éternel, des anomalies importantes sont en train de perturber notre soleil et il ne faut pas perdre de vue que notre petite planète ne pèsera pas plus qu’une petite poussière dans les tourments d’un orage millénaire qui semble à nos portes.
Pour en savoir plus : Boulversement climatiques, leurs cycles révélés, Pierre de Châtillon, éditions Nenki.
Hors ligne Germinal
#3
Messages : 210
Enregistré le : 29 mai 2011

Message le

Image

En mai 2012, selon l’Observatoire Astronomique Nationnal du Japon, le champ magnétique du soleil sera renversé et deviendrant à pôle quadruple. Cela signifie qu’il y aura des pôles positifs aux pôles sud et nord et qu’un champ négatif apparaîtra à l’équateur.

Un phénomène similaire est survenu il y a 300 ans, la Terre a expérimenté une légère baisse de température (environ 0,6 degré).

Image

On ne sait pas pourquoi le renversement de pôle se produit mais on constate que c’est lié au cycle de 11 ans des tâches solaires. Exceptionnellement, le présent cycle s’allonge sur 13 ans comme il y a 300 ans.

Et quelle genre de météo l’Europe a-t-elle connu il y a 300 ans? en voici un aperçu :
hiver 1684 hiver très dur, la mer gèle sur plusieurs milles en Angleterre, en Hollande et en France. Aucun bateau ne peut en sortir. Tamise gelée du 23 décembre au 7 février, des marchés s’y déroulent dessus. Famine à Tours. Neige extraordinaire dans le midi. Garonne gelée grâce à la couche de neige les blés sont épargnés

15 janvier 1684 -14.9° à Paris

16 janvier 1684 -14.9° à Paris

3 février 1684 -16.3° à Paris (max. –10.9°)

4 février 1684 -16.8° à Paris

printemps 1684 printemps sec

été 1684 été chaud, vendanges précoces, juin et juillet caniculaires dans l’Est très chaud très sec, « stérile en grains » (Seine et Marne)

10 juillet 1684 35° à Paris (selon les mesures de Cassini)

4 et 8 août 1684 35° à Paris (selon les mesures de Cassini)

24 août 1684 Grandes chaleurs, récoltes perdues (Deux Sèvres)l

automne 1684 froid et humide

23 septembre 1684 max. 12.1° à Paris

novembre 1684 très froid

hiver 1685 hiver très froid (neige abondante dans l’Est)

printemps 1685 sec

été 1685 été froid et humide, « rude » récoltes bonnes (Poitou). Toujours la sécheresse dans le midi « les cachots sont remplis de fermiers inolvables »

5 juin 1685 pas plus de 12.9° à Paris

automne 1685 automne doux

hiver 1686 hiver peu rigoureux (en janvier inondation dans l’Ouest)

printemps 1686 printemps très chaud et sec

été 1686 été chaud, sécheresse, migration de sauterelles dans le midi, caniculaire dans le Nord, vendanges précoces

21 juin 1686 Nuit chaude, min. 22.2° à Paris

automne 1686 Automne sec

1687-1690 quatre printemps. Etés pourris redoutables fraîcheurs après des belles années

hiver 1687 Hiver très froid et très neigeux,

printemps 1687 frais

11 mars 1687 23.7° à Paris

19 mai 1687 29.8° à Paris

été 1687 encore favorable, très bonnes (Poitou) à nouveau plus humide dans le midi, après 7 ans de sécheresse

automne 1687 frais et humide

12 septembre 1687 max. 11.8° à Paris

hiver 1688 Hiver très froid (ACS) ou pas rude du tout (Vareddes)

Printemps 1688 Très froid et sec. Toute l’année est froide.

Eté 1688 Eté frais et humide (ACS) ou bon (Vareddes)

30 juillet au 1er août 1688 Gel nocturne, par temps clair (Indre et Loire)

automne 1688 frais et humide

2 septembre 1688 Neige et gel nocturne à Manthelan (Indre et Loire)

octobre 1688 très froid

hiver 1689 Hiver froid,

1er janvier 1689 Crues, inondations à Saumur (Maine et Loir)

13 janvier 1689 -14.9° à Paris

printemps 1689 froid

30 mai 1689 pas plus de 12.1° à Paris

été 1689 frais et très humide,

1er juin 1689 pas plus de 11.1° à Paris

4 juin 1689 pas plus de 12.1° à Paris

10 août 1689 26.8° à Paris…et c’est le plus chaud de tout l’été !

16 août 1689 max. 16.5° à Paris

automne 1689 humide (inondations en octobre en Seine et Loire)

1690-1701 années catastrophiques En Suède décennie très humide, printemps froids

printemps 1690 Printemps glacé

été 1690 humide

28 juin 1690 Gros orage à Sceaux (Hauts de Seine). La Seine atteint 7 m 55 à Paris

hiver 1691 hiver glacial et très sec.

27 janvier 1691 max. 4.2° à Paris, c’est le plus chaud de tout le mois

7 au 9 mai 1691 En mai fortes gelées (vignes centre – est + Deux Sèvres)

21 mai 1691 Orage de grêle à Exoudun (Deux Sèvres)

été 1691 été chaud, « rude »

automne 1691 frais

11 novembre 1691 max. 0.1° à Paris

hiver 1692 hiver très froid, glacial, neigeux

janvier 1692 Neiges abondantes en Seine et Loire

février 1692 Neiges abondantes dans le Centre et le Nord

Printemps 1692 très froid

24 avril 1692 très froid, « à peine une feuille sur les arbres »

mai 1692 Gel des vignes

9 mai 1692 pas plus de 9.6° à Paris

été 1692 été pourri, glacé et très pluvieux saisons « renversées »

22 juin 1692 Gros orage près de Ribeauvillé

juillet 1692 Pluies continuelles dans le Nord, et l’Est

6 août 1692 Le Furan déborde à St-Etienne

automne 1692 froid et humide, vendange le 12 novembre !

septembre 1692 Pluies abondantes dans le Nord

14 septembre 1692 max. 11.4° à Paris

11 octobre 1692 max. 4.2° et neige à Paris !

18 octobre 1692 le gel anéantit le peu de blé qui reste, grappes gelées avant maturité

27 octobre 1692 15 cm de neige à Paris !

novembre 1692 Glacial dans l’Ouest

1692-1693 récoltes ratées, famine, disette apocalyptique,

hiver 1693 hiver froid. Meuse gelée à Namur

printemps 1693 printemps glacé, très humide

22 mars 1693 Pâques précoces

13 mai 1693 pas plus de 8.2° à Paris

été 1693 meilleur que 1692, orages coup de chaleur en août, échaudage très mauvaises récoltes. Famine

automne 1693 automne froid et pourri

hiver 1694 hiver très froid, le lac de Constance gèle

janvier 1694 Glacial dans le Centre. Neige abondante dans l’Est et Sud-Est

24 janvier 1694 -13.5° à Paris

février 1694 Neige abondante dans le Centre

printemps 1694 frais et sec

28 avril 1694 26.2° à Paris

été 1694 humide « fort peu de vin » en Meurthe et Moselle

août 1694 Tornade à Topsham (S.O. Angleterre)

3 août 1694 Crue du Furan (rupture), St-Etienne inondée

automne 1694 frais et humide

octobre 1694 très froid

hiver 1695 hiver très froid, très sec,.Islande entièrement prise de glaces. D’octobre à mars. Jusqu’à –15° à Paris

6 février 1695 -18.1° à Paris

10 février 1695 -17.2° à Paris

Printemps 1695 Printemps glacé

Eté 1695 été froid, cyclonique. Pluies « inquiétantes » en juillet et en août vendanges tardives (38)

27 octobre 1695 max. 5.7° à Paris

Hiver 1696 sec et froid

15 janvier 1696 17.9° à Paris, record de douceur…

printemps 1696 froid

été 1696 humide, récoltes acceptables

hiver 1697 Hiver très froid, sec, Rhône gelé, famine nordique. Garonne gelée

5 février 1697 -15.8° à Paris

printemps 1697 froid

10 mai 1697 29.8° à Paris

11 mai 1697 30.1° à Paris….et c’est le plus chaud de toute l’année !

été 1697 humide , récoltes acceptables

automne 1697 frais

9 octobre 1697 max. 7.5° à Paris

hiver 1698 hiver très froid

janvier et fév.1698 Glacial, neige dans le Centre

février 1698 Inondations en Seine, Loire, Ouest

1er février 1698 -12.6° à Paris

printemps 1698 printemps froid et humide (en mai vignes gelées)

mars et avril 1698 Début de printemps pourtant favorable

mai 1698 Glacial, le plus froid entre 1676 et 1712

3 mai 1698 Très fortes gelées, vignes durement touchées. -0.1° à Paris

8 mai 1698 Neige à Valenciennes

14 mai 1698 pas plus de 7.8° à Paris

été 1698 été froid (chaud selon quid, « rude » selon parentele), vendanges extrêment tardives « l’année la plus froide de tous les temps » (Indre et Loire). Aucune vendange récoltée en Vendée

19 juin 1698 Pluies. Crues, inondations à Puiseaux (Loiret) et à Aufferville (Seine et Marne)

Août-septembre 1698 Très frais

23 août 1698 max. 16.1° à Paris

automne 1698 automne froid et très humide, en septembre fortes pluies Ouest + Sud-Ouest

3 septembre 1698 Orage de grêle à St-Flouvier (Indre et Loire)

hiver 1699 Hiver froid, neigeux. Meuse gelée à Namur

Printemps 1699 Printemps glacial ! !

Automne 1699 sec

1700 à 1703 vendanges tardives

hiver 1700 Hiver très froid et sec

printemps 1700 Printemps glacial !


sources: http://etat-du-monde-etat-d-etre.net/de ... ple-en-mai
http://eso-news.blogspot.ca/#ixzz1sn88zeh8 et http://www.yomiuri.co.jp/dy/features/sc ... 005829.htm
Répondre

Retourner vers « Sciences »