La Révolution de Bel
Présentation de l’ouvrage
Cette présentation vise uniquement à placer le lecteur dans le contexte historique d’abord, puis spirituel et ésotérique dans lequel le présent ouvrage fut écrit par l’auteur.
La Révolution de Bel fut éditée pour la première fois en Colombie, en 1950. C’est le résultat d’un ensemble d’expériences ésotériques vécues sur les plans astral, mental, et même causal, par Samaël Aun Weor et ses disciples les plus proches.
C’est le deuxième livre de l’auteur et, de même que tous les premiers ouvrages de Samaël Aun Weor, il est écrit dans un langage fort, précis, qui met les naïfs en garde contre les dangers des pratiques de Magie Noire.
Lors d’une interview en 1974, on demanda à Samaël Aun Weor :
« Beaucoup d’entre nous avons pu remarquer que vos premiers livres sont remplis de critiques sévères, ainsi que d’affirmations contre d’autres auteurs ésotériques. Il y en a qui trouvent une contradiction entre cette attitude et la doctrine du cœur dont vous parlez dans de nombreux ouvrages. Quelle était la raison de telles critiques et pour quelle raison ne les employez-vous plus ? »
Réponse. « L’agriculteur qui va semer, doit d’abord brûler les buissons, les chardons, les épines et tout ce qui ne sert à rien, pour se donner ensuite le luxe de planter le grain duquel doit sortir la vie. Les ouvriers qui vont construire une maison, doivent creuser le sol, faire des excavations dans la terre dure, afin d’établir les ciments fermes pour cette maison. De même, il m’a été échu de remettre le Message pour la Nouvelle Ère du Verseau, m’est revenu le dur labeur de tout agriculteur et ouvrier : signaler, indiquer l’obstacle, montrer le danger, l’erreur, avant de pouvoir semer le grain culturel de la Nouvelle Ere qui s’initie en ces moments, dans l’auguste tonnerre de la pensée ».
Certains d’entre nous ont connu personnellement des disciples proches de l’auteur, qui participèrent à ses excursions journalières dans les mondes internes qui donnèrent lieu à cette extraordinaire aventure.
L’auteur ne se contente pas de raconter les faits, il en profite aussi pour enseigner la Gnosis d’instant en instant.